En juillet, un peu plus de 6 mois après le retour de RAP Nantes, et quelques actions ciblant notamment les écrans, un article de 20 minutes s’intéresse aux réticences aux écrans numériques.
Du côté de JCDecaux, on juge la grogne « injuste ». D’autant plus qu’elle ne se traduit pas que par des mots. « Depuis six mois environ, on voit se développer des tags, des inscriptions, des enrubannages. Un élu y a même participé. Il y a un climat qui s’est dégradé et on ne pensait pas que ça prendrait de telles proportions. C’est lassant et pénalisant pour nos équipes. Elles ont l’impression de ne pas être aimées alors qu’elles font juste leur boulot », raconte Amaury Cardon, directeur régional de JCDecaux.
RAP Nantes demande l’interdiction dans le RLPi de ces dispositifs publicitaires. C’est par exemple déjà le cas à Paris,